Trois ours rôdent à Manche D'Épée
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Trois ours rôdent à Manche D'Épée
Trois ours rôdent à Manche D'Épée
Les trois ours qui se tiennent dans le secteur de Manche D'Épée rendent les résidents très craintifs.
Depuis une semaine, des résidents de la rue de la rivière à Manche D'Épée sont sur leurs gardes quand ils vont à l'extérieur, car trois ours rôdent sur le territoire. Les résidents attendent que des actions soient portées pour assurer leur sécurité face à ces présences inquiétantes. «La conseillère municipale Arlette Fortin a eu toute une surprise en allant nourrir ses poules, quand elle a aperçu à 15 mètres d'elle un mastodonte d'environ 250 kilos assis sur son derrière, qui la regardait transporter sa chaudière de moulée», relate Daniel Charron, un résident de l’endroit. «On ne compte plus les arbres fruitiers brisés et les dégâts sur la propriété. On attend le jour pour sortir les ordures par crainte d'être attaqué. Les agents de la faune ont été contactés à plusieurs reprises et selon eux, les ours sont devenus trop familiers et doivent être abattus. Cependant, rien n'est fait. Les agents de la faune nous disent que la hiérarchie doit suivre son cours», ajoute M. Charron.
Les trois ours qui se tiennent dans le secteur de Manche D'Épée rendent les résidents très craintifs.
Depuis une semaine, des résidents de la rue de la rivière à Manche D'Épée sont sur leurs gardes quand ils vont à l'extérieur, car trois ours rôdent sur le territoire. Les résidents attendent que des actions soient portées pour assurer leur sécurité face à ces présences inquiétantes. «La conseillère municipale Arlette Fortin a eu toute une surprise en allant nourrir ses poules, quand elle a aperçu à 15 mètres d'elle un mastodonte d'environ 250 kilos assis sur son derrière, qui la regardait transporter sa chaudière de moulée», relate Daniel Charron, un résident de l’endroit. «On ne compte plus les arbres fruitiers brisés et les dégâts sur la propriété. On attend le jour pour sortir les ordures par crainte d'être attaqué. Les agents de la faune ont été contactés à plusieurs reprises et selon eux, les ours sont devenus trop familiers et doivent être abattus. Cependant, rien n'est fait. Les agents de la faune nous disent que la hiérarchie doit suivre son cours», ajoute M. Charron.
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